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L'important est de savoir s'en servir seule et associée à la carte, pour définir un angle de marche,un azimut magnétique ou géographique, un gisement. Pouvoir effectuer la correction de déclinaison en fonction de la variation annuelle (s'informer auprès de l'IGN)*. Se situer sur la carte grâce aux relvés du gisement des points remarquables du terrain (amers des marins), puis identifiés avec certitude sur la carte (triangulation).

De moins de 3 à plus de 300 €, on trouve quantités de boussoles, aux performances acceptables, dans le commerce. Un modèle basique pour courses d'orientation est en général suffisant

Pour la stabilité de lecture, les modèles dont l'aiguille est freinée par bain d'huile sont préférables.

Attention, beaucoup se sont plus souvent perdus avec une boussole que ceux qui n'en avaient pas : ce n'est pas un mythe.

Quand on suit un azimut, ne pas prendre de repères top éloignés qui pourraient être masqués pendant la progression ou impossible à atteindre (coupure humide ou sèche, reliefs, végétation).

Enfin, la boussole n'est aucunement liée avec l'échelle de la carte, ni avec sa lecture et sa compréhension. Elle sert à l'orienter et de rapporteur d'angles.

* La déclinaison mentionnée sur la carte correspond à celle de son année d'édition. On en a parfois qui sont vieilles de plusieurs décennies, mais, à part la déclinaison, toujours valables, car l'image du terrain qu'elles couvrent n'a pratiquement pas changé. Alors que tout près, avec l'urbanisation galopante, beaucoup sont périmées en moins de cinq ans. Les plans satellites diponibles sur la toile, permettent de vérifier la réalité, à moindre coût.

Inexact koz bag

L'équidistance des courbes de niveau est indiquée dans la légende de la carte, elle peut varier en fonction du relief de la région couverte. En général, selon l'échelle de la carte elle est de ;
— 5 m pour les cartes au 1/5000 au 1/10 000, au 1/20 000 et au 25 000 ;
— 10 m pour les cartes au 1/50 000 ;
— 20 m pour les cartes au 1/100 000.