Bases pour les outils de la couture main pour le cuir

[Claude Ponthieu]

Le titre est un peu long — il m’est difficile de résumer le document suivant.

Outils de la couture main du cuir ou autres.pdf

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Ce document risque d’être rébarbatif, voire fastidieux, mais il peut vous permettre de comprendre un certain nombre d’éléments pour acquérir des bases claires sur le travail manuel et traditionnel du cuir, etc.

Ici, il n’est question que des outils et de comment les préparer.

[Le Quercus]

Document très instructif, notamment sur la production de la poix et le traitement du lin, merci Claude
Lode et Iza avaient essayés de cultivé et de filer du lin il me semble.

[Nihil cogito]

Excellent article, mais, au risque de jouer le rabat-joie, n'est-il pas trop professionnel pour le profane qui s'essaye à la sellerie ? N'effrayons pas les initiatives de bonne volonté.

[Claude Ponthieu]

Excellent article, mais, au risque de jouer le rabat-joie, n'est-il pas trop professionnel pour le profane qui s'essaye à la sellerie ? N'effrayons pas les initiatives de bonne volonté.

Cette inquiétude est compréhensible.
Ma perception du bushcraft est d’inciter à éviter d’acheter et d’essayer de faire avec les moyens et matériaux à notre disposition et surtout d’expérimenter le plus possible.

L’idée finale étant de fabriquer soi-même son outillage, à l’origine ce document a été écrit pour toutes personnes cherchant à travailler de façon ancienne/traditionnelle ou cherchant à être autonomes.

Bien sûr, juste pour essayer de faire une pièce basique, mieux vaut s’attarder directement sur la technique de préparation des aiguilles avec un fil industriel poissé.
D’autres feuilletteront certaines parties par simple curiosité et peut être que…

Dès que possible avec un appareil photo sous la main, des explications complémentaires sur certains outils seront données.

[Claude Ponthieu]

[…] et le traitement du lin …

Plusieurs sortes de fibres végétales peuvent être traitées de la même manière que le lin.

Pour carder le lin ou autres fibres végétales, souvent je le faisais avec deux brosses râteau pour chien, comme celle-ci.

[Nihil cogito]

Ma perception du bushcraft est d’inciter à éviter d’acheter et d’essayer de faire avec les moyens et matériaux à notre disposition et surtout d’expérimenter le plus possible.

Mon intention est la même, inciter à faire plus qu'à faire faire. Toutefois one peut tout faire soi-même. Trois choses sont nécessaire : disposition personnelle, naturelle (don, talent) ; temps et argent. Ce qui permet d'en acquérir une quatrième l'expérience ou savoir-faire.
Revenons à l'argent, il en faut ; certes, ce n'est pas un paquet de 25 aiguilles le plus coûteux, ce sont les outils. À moins d'en hériter si on ne les a pas déjà, il faut bien les acheter même à prix modiques dans une brocante. Quant à se les fabriquer, il en fait d'autres pour y parvenir, on retombe dans l'éternel débat de qui de l'œuf ou de la poule est arrivé en premier.
Susciter la curiosité et l'intérêt, pour motiver l'envie d'en savoir plus et de faire mieux.
C'est pourquoi, il me semble plus pertinent d'enseigner le « geste » en le décomposant. Il faut apprendre ce qu'est un aiguille, à la choisir, comment la tenir, puis à s'en servir avant de se prétendre couturier.
Commençons par des aiguilles que tout le monde est capable d'enfiler et qu'on trouve partout. Pourtant les merceries se font rares, les mercières prétendent que les carrelets n'existent pas et de plus en plus d'articles se vendent par fractions de douzaine, sous capote.