méthode d'obtention de latte de frêne

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Kirikiki972
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Re: méthode d'obtention de latte de frêne

Message par Kirikiki972 »

Salut a tous je viens de lire tout les posts au sujet de l'obtention d'une latte de frêne, très intéressant!!!
Quelques questions : Que signifie le mot " ressuyer "?
- Pour obtenir des lattes de chataigner faut il couper couper l'arbre lorsqu'il est vert? Ou est t-il possible d'en obtenir avec un tronc qui est mort sur pied / déjà au sol?
Merci :cong:
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Camille
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Re: méthode d'obtention de latte de frêne

Message par Camille »

Le fait de ressuyer est de laisser sécher quelque temps des matériaux. Généralement se n'est pas un séchage complet.
Blizzard

Re: méthode d'obtention de latte de frêne

Message par Blizzard »

Kirikiki972
Sans douter de ton savoir, pour la définition des mots que tu ignores, interroge de préférence ton moteur de recherche, tu auras celles de son propre dictionnaire et des plus reconnus en France, soit Larousse, soit Littré, voire celui de l'Académie ou le Lexis. De surcroît, ils donnent, en général, l'étymologie, la prononciation, tous les sens et des exemples concrets. Le Lexis donne en sus, l'année d'apparition.
Si tu ne veux pas quitter le site où tu es, ouvre une autre fenêtre, ça tu sais faire.

Les explications données par les gens sont souvent imparfaites ou inexactes selon ce qu'ils ont compris, c'est parfois même le contraire avec les faux amis. C'est pourquoi, mieux vaut ne pas employer de mots tant français qu'étrangers quand on ne connaît pas toutes leurs acceptions (ce ne sont pas des acceptations).

L'usage des dictionnaires puis des encyclopédies enrichit toujours le vocabulaire. Sa maîtrise est une aide considérable pour l'art de la description, compréhensible par tous.
Tu n'appelles pas Pierre, Paul et Jacques, Truc, Machin et Chose ou par d'autre noms d'oiseaux plus péjoratifs, à faire pâlir de jalousie un ornithologue.

À moins d'avoir un linguiste devant soi, même lui ne connaît pas tous les substantifs (je sais, les cuistres disent « référents », de nos jours), mieux vaut se fier aux dictionnaires papiers ou électroniques.

Toutefois, se méfier de ceux qui paraissent chaque année. Ils sont limités à un certain nombre d'entées. Les nouveaux mots qui y sont indroduits chassent les anciens peu ou plus usités, il faut faire de la place. Ce n'est pas parce qu'ils n'y sont plus qu'ils ont disparus de la langue française.

À chaque fois que je demandais à mes parents : « qu'est-ce que ça veut dire… », j'avais la réponse immuable « Dictionnaire ! ». En cherchant le mot, avec les renvois, j'en apprenais et en apprend d'autres, encore aujourd'hui.


Pour le langage courant nous n'avons besoin, hors langages et jargons professionnels ou corporatistes, que de 300 mots et n'en utilisons pas la moitié au quotidien. Corneille (l'écrivain pas le chanteur) n'en usa que 1 500 pour son œuvre. La langue française comporte plus de 50 000 mots ou expressions et presque chaque jour, il s'en crée de nouveaux. Alors ?
Sa difficulté réside dans sa concision, exemple : couteau est un terme générique, s'il se compose d'une lame et d'un manche, les deux ont des noms, voire plusieurs, pour chacune de leurs parties et il en existe moult modèles et formes pour des fonctions précises, tous désignés par un nom ou davantage, plus les antonomases.

Tous nous sommes peu ou prou Doctus cum libro. L'important est ce qu'on fait avec.
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