Tout d’abord, avec un porte-foret mieux vaut prendre des bois pleins et éviter les tiges de certaines plantes avec moelle — avec ce système elles ont tendances à casser.
Comme le nomadisme est la plus part du temps mon mode de vie, le bois de meses forets est ce que la nature m’offre.
Par exemple, sur la côte ouest étasunienne de partout il y a du bois de cèdre près à l’emploi — attention, le cèdre en question est ce que les américains appellent Western Redcedar soit le Cèdre de l'Ouest, le Thuya géant ou thuya géant de Californie (Thuja plicata), il appartient au genre des thuja et non des cèdres.
L’autre essence communément rencontrée est le sapin Douglas, lui aussi près à l’emploi.
Dans le sud de la France c’est aussi bien du lierre, tilleul, noisetier etc. rien de bien spécial.
Pour ceux qui débute dans la technique des feux par friction, l’intérêt principal de cette technique nécessite qu’un foret/embout d’approximativement de 8 cm de long : plus facile à trouver qu’une tige de plus de 30 cm.
Dans Survival Skills of Native California - 1999, pp. 4-10, Paul D. Campbell décrit, entre autres, toutes les astuces des Natifs pour les techniques du feu par friction.
Les expérimentations scientifiques de Dick Baugh sont des plus instructives.