Super faut nous donnez de belles indications pour ceux qui ont l'envie de faire le leurs
En tout tu n'a pas chômer depuis le début
fabrication réchaud maison
Re: fabrication réchaud maison
La politique est le moyen pour des hommes sans principes de diriger des hommes sans mémoire :Voltaire
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Re: fabrication réchaud maison
Bon, retour d'expérience concernant le réchaud à pyrolise dont j'ai piqué l'idée à Quercus (le jour où je le rencontre, je lui paie une bière pour les droits d'auteur )
Pour commencer, le cendrier que j'ai bricolé pour mettre en dessous et ne pas brûler la table :
Un fond de boîte dans lequel j'ai coupé six "lames" : trois entrent à l'intérieur, et trois restent dehors, par emboîtement. Ça fonctionne, mais ça mérite d'être amélioré (j'ai coupé ça "à l'arrache"), et les lames ont tendance à boucher les entrées d'air. Je referai quelque chose de plus "chiadé", en prenant des mesures et tout et tout.
Le réchaud en lui-même :
Ne faites pas la même connerie que moi : le réchaud à pyrolyse, ça chauffe. Beaucoup. L'idée du cendrier pour ne pas cramer la table, c'est bien. Retirer le papier autour de la boîte, ça aurait été pas mal non plus. Ça m'aurait évité d'avoir de la cendre partour autour ensuite...
Le tout monté ensemble :
Ça fait déjà haut, et pourtant, il n'y a pas encore le support à gamelle. Pour améliorer la stabilité, la prochaine fois, je mettrai des tiges en croix qui traverseront le cendrier de part en part, parce que lorsqu'il y a une gamelle pleine d'eau en haut, il ne faudrait pas grand chose pour que ça se casse la gueule.
Premier essai :
Il y a peu de bois, mais la pyrolyse, justement, ça envoie du bois. Bluffé ! Malheureusement, D'une part, c'est la galère à allumer, et si on met du bois trop petit, en 4 minutes, la température est telle que tout est brûlé et l'eau n'a pas le temps de bouillir.
Second essai :
J'ai donc mis des morceaux de bois un peu plus gros (4 morceaux de la taille d'un pouce, pour que ça tienne dans la petite boîte de conserve centrale), et j'ai aidé l'allumage avec une pastille d'allume-feu solidifié. C'était, sans jeu de mot, du feu de Dieu ! Ça s'est mis à bouillir en moins de 10 minutes, et le feu a tenu 20 minutes sans réalimenter en bois. Cela a donc bouilli 10 minutes. Quand on n'est pas certain de la potabilité, c'est ce qu'il y a de mieux.
Le souci que j'ai eu avec le support à gamelle :
Le support à gamelle n'est pas assez haut. J'ai coupé un cercle de 5 centimètres de haut dans une boite. Une fois les pointes repliées, il ne reste qu'un espace de deux centimètres pour alimenter en bois s'il le faut. C'est trop petit. Je recommande donc de faire un cercle de 10 cms de haut. Une fois replié, ça laisse un trou de 5 cms. Ça évite de se cramer les doigts en alimentant, ça évite de prendre le risque de bousculer la gamelle et de s'ébouillanter, et vu la puissance de la flamme, ce n'est pas parce que la gamelle sera un peu plus haut que ça ne chauffera pas. Parce que là, ça ne se voit pas, mais la pyrolyse, ça marche : vu de près, comme l'explique Quercus dans sa vidéo, on voit très bien l'effet des gaz chauds qui remontent entre les deux boîtes et qui reviennent par les trous en haut de la petite boîte.
La table après :
Un feu de bois de 20 minutes, et aucune trace. Le cendrier était donc une bonne idée. Mais encore une fois, j'y mettrai des tiges en croix qui dépassent à chaque bout de plusieurs centimètres pour améliorer la stabilité.
Et encore un grand merci à Quercus, ça va me faire économiser du gaz
Pour commencer, le cendrier que j'ai bricolé pour mettre en dessous et ne pas brûler la table :
Un fond de boîte dans lequel j'ai coupé six "lames" : trois entrent à l'intérieur, et trois restent dehors, par emboîtement. Ça fonctionne, mais ça mérite d'être amélioré (j'ai coupé ça "à l'arrache"), et les lames ont tendance à boucher les entrées d'air. Je referai quelque chose de plus "chiadé", en prenant des mesures et tout et tout.
Le réchaud en lui-même :
Ne faites pas la même connerie que moi : le réchaud à pyrolyse, ça chauffe. Beaucoup. L'idée du cendrier pour ne pas cramer la table, c'est bien. Retirer le papier autour de la boîte, ça aurait été pas mal non plus. Ça m'aurait évité d'avoir de la cendre partour autour ensuite...
Le tout monté ensemble :
Ça fait déjà haut, et pourtant, il n'y a pas encore le support à gamelle. Pour améliorer la stabilité, la prochaine fois, je mettrai des tiges en croix qui traverseront le cendrier de part en part, parce que lorsqu'il y a une gamelle pleine d'eau en haut, il ne faudrait pas grand chose pour que ça se casse la gueule.
Premier essai :
Il y a peu de bois, mais la pyrolyse, justement, ça envoie du bois. Bluffé ! Malheureusement, D'une part, c'est la galère à allumer, et si on met du bois trop petit, en 4 minutes, la température est telle que tout est brûlé et l'eau n'a pas le temps de bouillir.
Second essai :
J'ai donc mis des morceaux de bois un peu plus gros (4 morceaux de la taille d'un pouce, pour que ça tienne dans la petite boîte de conserve centrale), et j'ai aidé l'allumage avec une pastille d'allume-feu solidifié. C'était, sans jeu de mot, du feu de Dieu ! Ça s'est mis à bouillir en moins de 10 minutes, et le feu a tenu 20 minutes sans réalimenter en bois. Cela a donc bouilli 10 minutes. Quand on n'est pas certain de la potabilité, c'est ce qu'il y a de mieux.
Le souci que j'ai eu avec le support à gamelle :
Le support à gamelle n'est pas assez haut. J'ai coupé un cercle de 5 centimètres de haut dans une boite. Une fois les pointes repliées, il ne reste qu'un espace de deux centimètres pour alimenter en bois s'il le faut. C'est trop petit. Je recommande donc de faire un cercle de 10 cms de haut. Une fois replié, ça laisse un trou de 5 cms. Ça évite de se cramer les doigts en alimentant, ça évite de prendre le risque de bousculer la gamelle et de s'ébouillanter, et vu la puissance de la flamme, ce n'est pas parce que la gamelle sera un peu plus haut que ça ne chauffera pas. Parce que là, ça ne se voit pas, mais la pyrolyse, ça marche : vu de près, comme l'explique Quercus dans sa vidéo, on voit très bien l'effet des gaz chauds qui remontent entre les deux boîtes et qui reviennent par les trous en haut de la petite boîte.
La table après :
Un feu de bois de 20 minutes, et aucune trace. Le cendrier était donc une bonne idée. Mais encore une fois, j'y mettrai des tiges en croix qui dépassent à chaque bout de plusieurs centimètres pour améliorer la stabilité.
Et encore un grand merci à Quercus, ça va me faire économiser du gaz
Mieux vaut prévenir que guérir
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