C'est un truisme de dire qu'un outil tranchant doit couper.
L'important est l'usage réel et fréquent que l'on a de l'outil. Pour beaucoup, nombre d'outils sont comme ce que disait Ch. de Gaulle des prix littéraires : « Il fait avour des prix mliiterraires dans sa bibliothèque, non pas pour les lire mais pour les avoirs lus. »
Le « au cas où » en fait trop se charger d'impedimenta inutiles. Il est indispensable de dissocier l'usage régulier intensif de l'emploi ponctuel rare.
Le bushcraft c'est s'adapter au milieu en le préservant autant que possible, pas le conquérir en le dégradant. Nous sommes de plus conditionnés à être revenus avant de partir, alors qu'aucune technologie ne nous le permet pas pour l'instant, voire ne nous le permettra jamas. C'est pourquoi, nous préférons franchir coûte que coûte les obstacles au lieu de les contourner.
Machettes, sabres d'abattis, coupe-coupes, coupe-choux sont d'un usage très occasionnel en forêts cultivées de type européen. Il ne reste que deux ou trois forêts primaires dans la vieille Europe où il est parfois nécessaire de se frayer un chemin. C'est vrai, on rencontre parfois des ronciers inextricables ; pourtant, il est exceptionnel de devoir les traverser car, presque toujours, il existe un sentier à proximité, bien qu'il puisse lui aussi être envahi par une végétation dense.
En conclusion, ne nous donnons pas l'illusion de l'aventure au détriment de la nature.
d'autres sont réaliser dans des lames d’essieux de camions 
