joil taf!
j'ai pas dû lire ton post de demande de plane! c'est pas rare que j'en vois une pas trop chère,je l'aurais remise en état et tout....
plane
plane
on en trouve sur les brocantes par chez moi mais c'est pas donné (pour les modèle en bon etat) sinon j'en ai vu en neuf à "bricomarché" la semaine dernière à pas cher 
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nemesys
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plane
En effete Johann, j'en ai vu aussi...mais au vu du prix, je me suis souvent demander ce que ça valait...johann a écrit :on en trouve sur les brocantes par chez moi mais c'est pas donné (pour les modèle en bon etat) sinon j'en ai vu en neuf à "bricomarché" la semaine dernière à pas cher
Crois tu qu'une plane à 15€ soit de bonne qualité ?
Pour nos activitées, mettre des milles et des cents pour cet outil ne me semble pas forcement judicieux ...Surtout sachant que ce n'est pas la dessus que l'on compteras le plus !
maintenant acheter de la merde ne me satisfaits pas non plus si c'est juste pour payer un prix ...
HS: vu qu'on fait du HS depuis quelque post, ne serait il pas bon de déplacer vers un autre sujet ?
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marco gyver
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Re: plane
c'est fait.....
l'environnement ce n'est pas un gros problème, c'est 8 milliards de petits problèmes
c'est parce-que la vitesse de la lumière est supérieur à celle du son que certains ont l'air brillant avant d'avoir l'air con
c'est parce-que la vitesse de la lumière est supérieur à celle du son que certains ont l'air brillant avant d'avoir l'air con
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Blizzard
Re: plane
Oui, la plane a une émouture en ciseau, l'autre côté du tranchant (le dessous du fer en contact avec le bois) doit être concave, c'est pourquoi il est préférable de l'affûter à la meule ronde à eau, le rayon étant celui de la pierre.
Tiré de mon livre Les outils de plein air (en quête d'éditeur)
LA PLANE
Autrefois, cet outil était très employé par les charrons, il servait à la finition des rayons des roues en bois pour en rabattre les arêtes. De même, qu’à la fabrication des barreaux de ridelles.
De nos jours, la plane sert encore aux tonneliers pour donner la courbure aux douelles des tonneaux et en arquebuserie pour l’ébauchage des crosses.
Dans les activités de froissartage la plane est utilisée pour :
— écorcer les pièces de bois, mais ce n’est vraiment pas son rôle, bien que les novices en soient persuadés ;
— rendre bien planes et sans aucune aspérité les surfaces des troncs lorsque l’on emploie la technique du bois fendu pour les tables et les sièges ;
— araser les nœuds d’une pièce de bois ;
— rectifier les fonds des mi-bois pour qu’ils soient bien jointifs entre eux.
Son rôle est un peu comparable à celui d’un rabot, mais les résultats obtenus sont moins précis et moins fins.
UTILISATION
Le maniement correct de la plane est plus difficile qu’il n’y paraît. Son biseau inférieur doit travailler pratiquement à plat pour une efficacité maximale. Les personnes ayant acquis une bonne dextérité de son maniement, travaillent parfois en la poussant dans des circonstances qu’eux seuls savent apprécier.
ENTRETIEN
AFFÛTAGE
Il exige beaucoup de savoir-faire. La lame de l’outil étant légèrement courbe, il est difficile de faire un tranchant régulier et continu.
Lors de l’affûtage à la meule à eau, on peut donner au biseau inférieur une légère concavité correspondant au rayon de la meule, mais seulement si elle est de grand diamètre (30 à 40 cm).
SÉCURITÉ
Du fait, que l’on tire l’outil vers soi, il peut être dangereux, on peut se blesser au ventre ou à la cuisse. Si l’outil coupe mal, la tendance est de tirer violemment, l’aspérité offrant de la résistance cède brusquement et c’est l’accident si on ne peut contrôler le mouvement. Les feuillardiers — ouvriers saisonniers fabricant autrefois des feuillards en perches fendues — se protégeaient le ventre avec un tablier de bois ou garde-corps. Il est facile à réaliser avec des moyens simples. Il suffit de percer, de part en part à un bout et au milieu, des branches de 3 à 4 cm de diamètre, on y passe des cordelettes pour les accrocher au cou et les lier à la ceinture.
Tiré de mon livre Les outils de plein air (en quête d'éditeur)
LA PLANE
Autrefois, cet outil était très employé par les charrons, il servait à la finition des rayons des roues en bois pour en rabattre les arêtes. De même, qu’à la fabrication des barreaux de ridelles.
De nos jours, la plane sert encore aux tonneliers pour donner la courbure aux douelles des tonneaux et en arquebuserie pour l’ébauchage des crosses.
Dans les activités de froissartage la plane est utilisée pour :
— écorcer les pièces de bois, mais ce n’est vraiment pas son rôle, bien que les novices en soient persuadés ;
— rendre bien planes et sans aucune aspérité les surfaces des troncs lorsque l’on emploie la technique du bois fendu pour les tables et les sièges ;
— araser les nœuds d’une pièce de bois ;
— rectifier les fonds des mi-bois pour qu’ils soient bien jointifs entre eux.
Son rôle est un peu comparable à celui d’un rabot, mais les résultats obtenus sont moins précis et moins fins.
UTILISATION
Le maniement correct de la plane est plus difficile qu’il n’y paraît. Son biseau inférieur doit travailler pratiquement à plat pour une efficacité maximale. Les personnes ayant acquis une bonne dextérité de son maniement, travaillent parfois en la poussant dans des circonstances qu’eux seuls savent apprécier.
ENTRETIEN
AFFÛTAGE
Il exige beaucoup de savoir-faire. La lame de l’outil étant légèrement courbe, il est difficile de faire un tranchant régulier et continu.
Lors de l’affûtage à la meule à eau, on peut donner au biseau inférieur une légère concavité correspondant au rayon de la meule, mais seulement si elle est de grand diamètre (30 à 40 cm).
SÉCURITÉ
Du fait, que l’on tire l’outil vers soi, il peut être dangereux, on peut se blesser au ventre ou à la cuisse. Si l’outil coupe mal, la tendance est de tirer violemment, l’aspérité offrant de la résistance cède brusquement et c’est l’accident si on ne peut contrôler le mouvement. Les feuillardiers — ouvriers saisonniers fabricant autrefois des feuillards en perches fendues — se protégeaient le ventre avec un tablier de bois ou garde-corps. Il est facile à réaliser avec des moyens simples. Il suffit de percer, de part en part à un bout et au milieu, des branches de 3 à 4 cm de diamètre, on y passe des cordelettes pour les accrocher au cou et les lier à la ceinture.
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