Ils permettent de fendre les troncs sur leur longueur, et ainsi de n’utiliser que la moitié du bois pour certaines réalisations (plateaux de tables, bancs et sièges, etc.).
Les coins en acier sont lourds, pour des activités bushcraft, somme toute assez ludiques, il est préférable de s'en fabriquer sur place, en bois. Ils ne coûtent rien si ce n'est un peu de sueur et parfois des ampoules aux mains. Après usage, il alimentent le feu.
FABRICATION DE COINS EN BOIS
Pour la fabrication des coins on prend des bois très durs comme le chêne, le charme ou le robinier (ou faux acacia).
Ils sont taillés à la hachette dans des rondins de 8 à 10 cm de diamètre (Fig. 1). L’angle des coupes en sifflet est élargi par un contre-biseau (Fig. 2). Puis, les coins sont coupés à la longueur voulue, en général 25 à 30 cm (Fig. 3). Enfin, on aménage un chanfrein sur le pourtour de l’extrémité recevant les coups. Il permet de taper le plus près possible de l’axe longitudinal du coin.
Le contre-biseau évite au coin de s’émousser trop vite ; le chanfrein qu’il se fende (Fig. 4 et 5).
Il est préférable d’amorcer le fendage par un coup de hachette en bout de la pièce à fendre, côté cime de l'arbre. Cette recommandation s’impose plus particulièrement avec les coins en bois.
Les coins en acier sont lourds, pour des activités bushcraft, somme toute assez ludiques, il est préférable de s'en fabriquer sur place, en bois. Ils ne coûtent rien si ce n'est un peu de sueur et parfois des ampoules aux mains. Après usage, il alimentent le feu.
FABRICATION DE COINS EN BOIS
Pour la fabrication des coins on prend des bois très durs comme le chêne, le charme ou le robinier (ou faux acacia).
Ils sont taillés à la hachette dans des rondins de 8 à 10 cm de diamètre (Fig. 1). L’angle des coupes en sifflet est élargi par un contre-biseau (Fig. 2). Puis, les coins sont coupés à la longueur voulue, en général 25 à 30 cm (Fig. 3). Enfin, on aménage un chanfrein sur le pourtour de l’extrémité recevant les coups. Il permet de taper le plus près possible de l’axe longitudinal du coin.
Le contre-biseau évite au coin de s’émousser trop vite ; le chanfrein qu’il se fende (Fig. 4 et 5).
Il est préférable d’amorcer le fendage par un coup de hachette en bout de la pièce à fendre, côté cime de l'arbre. Cette recommandation s’impose plus particulièrement avec les coins en bois.
Généralement, trois à quatre coins suffisent.