Merci pour vos retours. Effectivement comme on peut constater sur les vidéos, cela a du mérite et je n'aurais pas amené des mètres linéaires en forêt pour ensuit les gâcher sur un fauteuil de fortune. Super satisfaisant de les regarder, dit en passage. Pour le livre je l'ai pas consulté mais
Le travail des fibres, une porte vers l'autonomie
Les fibres végétales
Les fibres animales
Les outils à filer
Le filage au fuseau
Les retors
semble bien exhaustif pour qui souhaite apprendre des techniques ancestrales.
Donc soit on les prépare d'avance et les amène avec soi comme un sisal de commerce, soit on voit ce qu'on trouve sur place (ronces, herbes).
Pour la souplesse je ne suis pas persuadé, l'idée était de travailler avec le bois qui s'autobloque plutôt que de faire une structure tenu par un brêlage. Il faudrait faire un essai pour voir combien de corde on a besoin au minimum. Le projet initial était de réduire le volume et si possible le poids sans diminuer le confort. Donc pas de fauteuil et faire en un en forêt avec une cordelette sisal = moins de volume et moins de poids. Par contre, en faisant un quasi-brêlage et coupant la corde à la fin donnant une longueur importante. Même les lacets ne sont pas aussi long. Il faudrait réussir de créer une couronne où les bouts se coincent plutôt que de faire un nœud ( le nœud de constriction ABOK 1249 par exemple ) reste le débat : plutôt amener sa corde ou la fabriquer sur place... Par exemple, j’amène bien une scie pour couper du bois mort pour la fabrication du fauteuil. Je trouve la préparation vaut aussi bien que un savoir faire, non ? Ou, fabriquer une corde parce-que je veux pas m'assoir par terre semble un peu overkill pour un campement d'une soirée, non ?
